Economie Les revenus
Retenir – Ch3 Les échanges économiques
Economie
Notions : spécialisation, échange, prix, interrelations entre agents économiques, fonctions de la monnaie, circuit économique
Retrouvez l’ensemble des notions abordées dans les ressources de cours ici !
1 – Pourquoi les agents économiques échangent-ils ?
L’économie actuelle est composée d’un grand nombre d’acteurs. Ces mêmes acteurs réalisent des choix économiques comme consommer, produire par exemple. Ces choix conduisent naturellement à l’échange. En effet, toute production est destinée à être vendu (échangée), toute consommation nécessite l’acquisition d’un bien ou d’un service et donc conduit à l’échange également.
A. La spécialisation, condition des échanges
Lorsque plusieurs individus réalisent des échanges : ils fournissent des biens et des services aux autres et en reçoivent en retour. Du fait de la réalisation d’échanges, l’éventail des choix possibles pour chacun d’eux s’élargit. Ils peuvent ainsi se procurer des biens différents et donc satisfaire d’autres besoins. L’échange permet à chacun de retirer un avantage en augmentant les besoins satisfaits.
L’échange apparaît donc comme un moyen de pouvoir satisfaire l’ensemble de ses besoins.
Constat :
Les individus et les groupes procèdent à l’échange pour se procurer les biens qu’ils ne fabriquent pas.
Très peu de personnes produisent elles-mêmes les biens et services qu’elles souhaitent consommer pour des raisons de compétences, de temps et même de coût.
Aller plus loin : Produire un bien en une seule unité pour satisfaire un besoin est généralement plus coûteux que de le produire en grande quantité. On parle d’économie d’échelle lorsque la production en grand volume permet d’obtenir un coût unitaire plus faible.
Solution :
Elles vont donc se spécialiser dans les productions pour lesquelles elles détiennent un savoir-faire, là où elles sont les plus efficaces.
Grâce aux revenus acquis dans leurs activités respectives, ces personnes (enseignants, policiers, avocats, travailleurs du bâtiment, etc.) obtiennent les biens et services produits par d’autres.
Exemple :
L’argent que va générer l’activité d’un boulanger lui permettra d’acheter des biens qu’il ne fabrique pas comme un téléphone par exemple. Le vendeur du téléphone pourra à son tour acheter un bien ou un service qu’il ne fabrique pas, aller chez le boucher par exemple.
Dans un échange volontaire entre deux personnes, entre une personne et une entreprise, entre les habitants de deux pays, l’échange peut permettre d’améliorer le bien-être de l’un et de l’autre. La spécialisation des individus, des entreprises, des pays, conduit à la division du travail.
Questions avec réponses
Une économie dans son ensemble peut produire davantage quand chaque individu se spécialise dans une activité productive et échange avec les autres.
La productivité, l’expérience, le savoir-faire, l’introduction des machines, la motivation, la rémunération, la qualité de vie dans les conditions de travail, la santé, la force physique sont des éléments à prendre en compte dans la production d’un bien ou d’un service.
Chaque travailleur dispose de plus ou moins de compétences, de plus ou moins d’intelligence, de formation, de talent, de méthode, d’organisation, d’attitudes… Nous sommes dans une situation où il y a des inégalités d’instruction, de formation, de niveau de vie, etc.
Les articles que l’on achète, que l’on porte, que l’on mange sont parfois originaires de pays lointains. C’est le cas de certaines denrées alimentaires, des vêtements, des meubles, des ordinateurs ou encore des véhicules.
Le climat, la fertilité des terres, le coût des matières premières, le coût de la main-d’œuvre sont des éléments à prendre en compte dans la spécialisation d’un pays.
B. Les interrelations entre agents économiques
De l’échange et de la spécialisation des individus découlent des interrelations multiples (flux monétaires, flux réels) entre les agents économiques.
Dans les économies modernes, les individus participent à un vaste ensemble d’échanges volontaires :
- les salariés échangent leur travail avec leur employeur en contrepartie d’un salaire ;
- ces mêmes salariés échangent ensuite une partie de ce salaire avec de nombreux commerçants chez qui ils achètent des biens et services ;
- les entreprises échangent les produits fabriqués contre de l’argent qui leur permet, en particulier, de rémunérer leur main-d’œuvre (salariés) ;
- il en est de même à la banque où l’on échange une épargne contre une rémunération.
De l’échange et de la spécialisation naissent des interrelations multiples.
Les échanges entre deux agents, les interrelations, peuvent être représentés par des flux.
On distingue deux types de flux :
- les flux réels/physiquesportent sur des biens et/ou des services ;
- les flux monétaires correspondent aux échanges de monnaie.
Lors d’un échange, il y a le mouvement d’un bien et le mouvement en contrepartie d’une monnaie.
Une opération donne naissance à deux flux de sens opposé. La plupart du temps un flux monétaire qui est la contrepartie d’un flux réel.
Exemple :
Je délivre un bien en échange de la réception d’argent (deux flux de sens opposés)
Le circuit économique permet de réaliser une description de l’activité économique (des échanges donc) en mettant en évidence les différents flux qui s’établissent entre les divers agents économiques (ménages, entreprises, administrations publiques, banques et assurances, associations, reste du monde).
La représentation de l’économie sous forme de circuit permet de faire apparaître les interrelations entre les divers agents économiques.
Circuit économique simplifié :
Nommer les différents flux à partir de la liste suivante
Le travail , L’épargne ou profits des entreprises, subventions
Le salaire, emprunts, services publics
La demande, emprunts des entreprises, exportation de biens et de services
L’offre, prélèvements obligatoires supportés par les ménages, recettes tirées des exportations
La valeur de la production, prélèvements obligatoires supportés par les entreprises, paiement des importations
La consommation, prestations sociales, importations des biens et des services
L’épargne des ménages, services publics
2 – Pourquoi la monnaie est-elle un instrument essentiel de l’activité économique ?
La monnaie constitue un instrument essentiel de l’activité économique. Elle permet de se procurer tout bien ou service vendu sur un marché et sert à la fois d’intermédiaire des échanges, d’unité de compte et de réserve de valeur. Elle a la propriété d’être acceptée comme moyen de paiement immédiatement et sans coût ce que le troc ne permettait pas autrefois.
A. La monnaie, intermédiaire des échanges
Aujourd’hui, la monnaie se présente sous deux formes : fiduciaire et scripturale.
- La monnaie fiduciaire se compose des pièces de monnaie et des billets de banque. La valeur faciale de cette monnaie est détachée de son coût de fabrication. La valeur des pièces et des billets ne repose plus que sur la confiance qu’ont les agents économiques dans leur monnaie.
- La monnaie scripturale est constituée des dépôts à vue des ménages et des entreprises dans les banques. Les principaux instruments de circulation de la monnaie scripturale sont la carte bancaire et le chèque.
La monnaie facilite les échanges en brisant le troc. Avec le troc, les produits s’échangent contre des produits. Dans ce type d’échange, l’acte d’achat et l’acte de vente s’effectuent simultanément. Le troc nécessite la rencontre de deux personnes qui désirent chacune acquérir le bien que l’autre souhaite céder. Le troc implique la « double coïncidence des besoins ».
Dans une économie monétaire, un agent peut vendre son bien à n’importe quel autre, que ce dernier ait ou non un bien à vendre.
Les biens et services s’échangent contre de la monnaie qui permet l’achat d’autres produits. Elle facilite les échanges en supprimant la double coïncidence des besoins.
La monnaie est un équivalent général. C’est un instrument de paiement admis partout et par tous en toutes circonstances.
B. La monnaie, unité de compte
La monnaie, en tant qu’instrument de mesure, constitue une unité de compte, c’est-à-dire un étalon qui permet de fixer la valeur, le prix des différents produits. Elle détermine une échelle de prix simple, exprimée en unité monétaire.
Avec la monnaie, on peut comparer facilement les prix de biens et de services différents, ce qui n’était pas le cas avec le troc, qui nécessitait l’établissement de multiples prix relatifs.
Tous les prix sont exprimés en monnaie. La monnaie comme unité de compte permet aussi de réduire les coûts de transaction.
C. La monnaie, réserve de valeur
La monnaie est un instrument de réserve de valeur car elle rend possible les transactions dans le temps. Elle est un pouvoir d’achat mis en réserve qui peut être utilisé plus tard lorsque l’on a le temps et le désir d’acheter.
La combinaison des facteurs de production (ch4)
Découvrir ou TD
Chapitre 4 : La création et la mesure de la richesse (focus sur les facteurs de production)
Plan du support :
Dossier n°1 : Une diversité de producteurs et de productions
- Contexte
- Document n°1 : Production marchande ou non marchande ?
- Document n°2 : Les entreprises, illustration de la production marchande
- Document n°3 : Les administrations publiques
- Aller plus loin : Les raisons d’une production non marchande
Dossier n°2 : Comment produire ?
- Document n°4 : Qu’utilisent les entreprises pour produire ?
- J’apprends par la vidéo : Les facteurs de production et leur combinaison
- Facteur travail
- Facteur capital
- L’information et le savoir (capital humain)
- L’efficacité de la combinaison productive
- Le rôle de l’investissement
- La productivité globale des facteurs
Dossier n°1 : Une diversité de producteurs et de productions
Contexte
Ce jeudi, Karima, élève de première STMG, finit sa journée de cours à midi. Elle quitte son lycée et se dirige vers une boulangerie pour s’acheter ce qu’elle préfère le plus : un brownie ! Mais Karima a du pain sur la planche. Elle doit se rendre au super marché pour réaliser les petites courses que lui a demandé son père ce matin avant qu’elle ne parte en cours. Elle se rend donc une fois le brownie acheté au supermarché de Bagnols le plus proche. Afin de réaliser ses courses, Karima passe au préalable auprès d’un distributeur de billets automatique. Karima est une jeune élève, et comme tous les jeunes de son âge, elle écoute beaucoup de musique. Elle saisit son iPhone et lança une playlist sur Deezer pour rendre le trajet moins monotone. Une fois les différentes missions réalisées, Karima rentra chez elle en prenant le bus. Une fois rentrée, elle décida de se poser quelques instants en allant sur les réseaux sociaux voir les diverses news du jour. A 17h00, Karima doit se rendre à son cours de tennis dans un club non loin de chez elle. Cela fait parti de ses rêves ! devenir une grande joueuse de tennis, reconnue.
Tout au long de sa journée, Karima aura été, d’un point de vue économique, une consommatrice de divers produits.
Question n°1 : A partir du contexte et du document n°1, surlignez d’une couleur les activités marchandes que Karima a réalisées au cours de sa journée et d’une autre couleur les activités non marchandes.
Question n°2 : Listez dans un tableau à deux colonnes, les biens consommés par Karima puis les services.
Question n°3 : Définissez la notion de bien et de service.
Question de synthèse : Après avoir défini la notion de production marchande et non marchande, vous proposerez des exemples de production non marchande auxquels vous êtes attachés.
Mais… qui produit les différents biens et services consommés par Karima au cours de sa journée ? Qui réalise une production marchande ? non marchande ?
Dans l’exemple de Karima, nous n’avons pris que des biens et services simples produits par des structures que nous appellerons “producteurs”. En effet, la fonction première d’une boulangerie est de produire et vendre du pain, la fonction première d’un lycée est de produire des cours.
Question n°4 : Pourquoi les biens et services que commercialisent les entreprises sont payants ?
Question n°5 : Rappeler la finalité d’une entreprise (transversalité avec les sciences de gestion)
Question n°6 : Selon vous, pourquoi existe-t-il un service public d’éducation ?
Question n°7 : Répondre à la question posée à la fin du document n°3.
Question n°8 : Citez un autre acteur (que l’Etat) qui réalise une production non marchande.
Aller plus loin : Les raisons de l’existence d’une production non marchande
Dossier n°2 : Comment produire ?
Produire, c’est créer des biens et services que la nature ne met pas spontanément à notre disposition. Pour cela, il faut utiliser, mobiliser, « combiner » différents éléments.
La combinaison des facteurs de production
Le premier d’entre eux est le travail humain, manuel ou intellectuel. Pas de baguette de pain sans l’intervention du boulanger, pas de cours de lycée sans l’intervention d’un professeur. Votre smartphone aura nécessité le travail de nombreux ingénieurs pour le concevoir, de nombreux ouvriers pour concevoir ses composants et les assembler, de nombreux informaticiens pour développer le système d’exploitation et les applications installées. Dans un autre registre, les fruits et les légumes que vous trouvez sur l’étal d’un marché peuvent sembler avoir moins nécessité l’intervention de l’homme et ils sont pourtant le résultat d’un long travail de sélection des semences adaptées, de cultures, de récolte, etc. qui aura nécessité l’intervention de nombreuses personnes.
La production nécessite également d’utiliser des biens ou des services de production. Prenons le cas d’une boulangerie. Pour produire sa baguette de pain, le boulanger devra disposer de farine, d’eau, de sel, de levure, d’électricité mais également d’un local (la boulangerie), d’une machine à pétrir ou d’un four à pain qui lui facilitent le travail, voire le rendent possible. De manière plus générale, pour un producteur, le capital regroupe tous les biens de production qui ne se détruisent pas au cours de la production (exemple : outils, machines, locaux). Le capital d’un lycée regroupe les bâtiments, ainsi que les chaises, les tables, les tab- leaux, les vidéoprojecteurs, les photocopieurs, les ordinateurs, etc.
Question n°1 : Dans le contexte de notre élève Karima, nous avons vu qu’elle écoutait de la musique à partir de l’application Deezer sur son iPhone. Proposez des exemples de facteurs ayant contribué à la production de son iPhone.
Question n°2 : Surlignez d’une couleur, les éléments pouvant être associés au facteur travail et d’une autre couleur ceux pouvant être associés au facteur capital.
Question n°3 : En menant une plus grande réflexion, vous essayerez de proposer d’autres facteurs ayant permis la production de cet iPhone.
Question n°4 : “La production d’un bien ou d’un service résulte donc de la … de différents … de production.” Complétez la phrase ci-dessus.
Après avoir visionné la vidéo, vous réaliserez les questions suivantes :
Question n°1 : Schématisez les différents éléments permettant la conception de l’iPhone de Karima.
Question n°2 : Pourquoi Apple cherche-t-il à optimiser l’utilisation des éléments nécessaires à la fabrication d’un iPhone ?
Question n°4 : Selon vous, qu’est-ce que l’entreprise Apple doit prendre en compte dans la combinaison des facteurs de production d’un iPhone ?
Le facteur travail (sous l’angle philosophique)
L’évolution du facteur travail depuis la révolution industrielle
Question n°1 : Expliquez en quoi la production de masse permettait de diminuer les coûts unitaires de production.
Question n°2 : Que permet la division du travail ? Ses enjeux ?
Question n°3 : Selon vous, quelles étaient les conditions de travail de cette époque ?
Question n°4 : De quoi dépend la quantité de facteur travail disponible dans une économie ?
Question n°5 : De quoi dépend la qualité du facteur du travail dans une économie ? Citez plusieurs exemples.
Le capital
Question n°1 : Réalisez une recherche pour chacun des symboles ci-dessus et obtenir leur traduction en français.
Question n°2 : Illustrer par des exemples concrets, le capital utilisé pour la production de l’iPhone qu’utilise Karima.
Question n°3 : Expliquez la phrase suivante : La quantité de facteur capital nécessaire dépend de l’intensité capitalistique et du progrès technique.
Question n°4 : Qu’est-ce qui améliore qualitativement le facteur capital dans une économie ?
L’information et le savoir (capital humain)
Prenons un exemple simple. Imaginons qu’un groupe de travailleurs décident de produire un mur mais qu’ils soient désorganisés et sans méthodes de travail. Pour que le mur puisse être bâti, donc pour que la production se fasse, il faudra que le manager intègre au sein de son groupe de travail des méthodes de travail, une certaine organisation entre les travailleurs ainsi qu’une coordination. Tous ces éléments peuvent être qualifiés de savoir. Sans le savoir, sans la connaissance, la production ne peut se faire ou alors de façon non compétitive. Nous venons d’illustrer la notion de savoir par de nouvelles méthodes de travail mais nous aurions aussi pu prendre comme exemple les innovations technologiques comme l’amélioration de la productivité d’une machine. Cette amélioration est permise grâce au savoir, à la connaissance humaine.
L’efficacité des facteurs de production (la productivité globale des facteurs = PGF)
Question n°1 : A partir du texte ci-dessus, vous calculerez combien de lm-h étaient produits en une heure de travail en 1800. Puis en 1992.
Question n°2 : Comment expliquer ce que vous constatez ?
Tableau 1 – Différentes combinaisons pour produire 1 iPhone
Combinaison | Nombre de travailleurs | Machines |
A | 1 | 6 |
B | 4 | 2 |
C | 3 | 7 |
D | 5 | 5 |
E | 10 | 1 |
Question n°1 : Selon vous, que cherchera Apple lorsqu’elle combinera des facteurs de production ?
Question n°2 : Comment qualifie-t-on le fait pour une entreprise de chercher à maximiser son profit à moindre coûts ?
Question n°3 : Quelles combinaisons ne seront d’office jamais choisies ? Pourquoi ?
Question n°4 : Quelle combinaison l’entreprise adoptera-t-elle dans un pays où le coût du travail est faible ?
Question n°5 : Que peut pousser à faire le contexte économique du pays pour une entreprise en général ?
L’investissement est l’augmentation du stock de capital. Selon I. Fisher le capital est un stock d’actifs accumulé au cours du temps et qui rapportera un revenu futur et durable.
Vous aurez l’occasion d’approfondir la notion d’actif notamment en sciences de gestion mais pour l’heure, retenons qu’un actif est un bien ayant une valeur économique positive pour l’entreprise (machines, stocks, bâtiment, locaux, etc).
Les agents économiques disposent donc, à un moment donné, d’un « stock » de capital, stock qui leur permet de produire des biens et des services.
Quand ils décident d’augmenter ce stock, c’est- à-dire d’acheter de nouveaux moyens de production, ils investissent.
L’investissement revêt deux formes : soit il s’agit d’un investissement de capacité visant à accroître les capacités de production (quantitativement) soit il s’agit d’un investissement de productivité qui vise à améliorer l’efficacité des facteurs, leur productivité.
Question n°1 : Illustrer par un exemple la définition de l’investissement apportée par I. Fisher.
Question n°2 : La formation peut-elle s’apparenter à un investissement selon vous ? Si oui, de quelle forme ?
Qu’est-ce que la productivité globale des facteurs ?
Si la création de richesses est supérieure à celle du travail et du capital, alors cela signifie que le travail et le capital ont été utilisés de manière plus efficiente : ce résidu est appelé productivité globale des facteurs.
Croissance = Productivité du capital + Productivité du travail + PGF
Phrase à retenir : “On le voit, les différentes formes de capital interagissent, se complètent en se renforçant l’une l’autre et cumulent leurs effets sur la PGF et la croissance économique.”
Exemple pour illustrer la PGF : Lorsque une entreprise produit un mur, cela nécessite différents investissements pour améliorer l’efficacité de la production. Chaque investissement seul va accroître l’efficacité soit du facteur travail, soit du facteur capital. Cependant, les différents investissements vont avoir des effets cumulatifs sur le facteur travail et le facteur capital. Le salarié plus performant car mieux formé (investissement n°1) saura manipuler tel ou tel appareil (machine) plus efficacement aussi car il est en meilleure santé (investissement n°2). On note ici que des synergies se produisent entre les différents investissement de telle manière les deux investissements se cumulent et se renforcent.
Autre exemple : l’automatisation d’une chaine de production permet de produire plus avec moins d’effectifs. La productivité du travail augmente mais cette hausse est permise grâce à l’influence du facteur capital (l’investissement).
Ch4 1STMG Economie
correction td eco ch3
TD n°2 eco ch3 1STMG
Chapitre 2 1STMG exercices
Devoir Novembre eco ch3/4
Retenir – Ch2 – Eco (Vidéo interactive de synthèse)